Le sacrifice consiste à prendre la vie des autres pour nourrir la sienne. Ministère de la défense, dites-vous ! Son répondant critique, c’est l’anti-sacrifice : donner sa vie pour que les autres vivent. Le figuier, planté à la fin de l’évangile de ce dimanche pourrait bien être l’allégorie de l’un et de l’autre. Périr comme lui ou périr comme le Christ, that is the question.